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Changer de vie : Pourquoi j’ai abandonné mon ancien rêve

Salut les hyper-lecteurs !  🙂

Aujourd’hui encore, je participe à un échange entre blogs sur un sujet commun. Je vous rappelle le principe, chaque blog écrit un article et le partage avec les autres blogs afin de faire découvrir à ses lecteurs de nouveau thèmes, et de nouvelles plumes.

Le thème d’aujourd’hui : Cet échec ou épreuve qui s’est révélé être une opportunité

Et vous allez voir que dans cet article, je vous livre des choses que je n’ai encore jamais dites sur moi, sur ce qui m’a fait changer de vie et sur les raisons de l’existence du blog Le TDAH au quotidien. J’avoue que cet exercice me fait un peu peur et j’ai longuement hésité avant de vous raconter cette histoire… mais c’est pour la bonne cause, alors allons y à fond ! 🙂

L’organisatrice de cet événement est Caroline du super blog Le Colibri Imparfait ! 🙂 Vous pouvez aussi découvrir les autres articles ayant participé à ce carnaval qui remonte le moral, en suivant ce lien ! N’oubliez pas de vous abonner à la page Facebook, Instagram ou Twitter si vous voulez vous tenir au courant des diverses mises à jour d’articles ou événements du blog Le TDAH au quotidien. 😉

Bonne lecture à vous. 🙂


L’expérience dont je vais vous parler est un sujet encore difficile à aborder pour moi. Peut-être est-elle encore trop récente… mais je commence aujourd’hui à l’entrevoir comme une expérience qui a été nécessaire à ma progression. Parce qu’elle m’a appris énormément sur moi-même, et parce que grâce à elle j’ai eu le courage de me poser les bonnes questions et de prendre des décisions qui ont changé ma vie. Je pense que cette anecdote peut vous aider à comprendre l’histoire et les raisons de l’existence du blog Le TDA/H au quotidien. Mais j’espère aussi pouvoir vous aider à vous poser vos propres bonnes questions, à tirer vos enseignements et à vous relever de vos épreuves passées ou présentes, pour en faire vous aussi de formidables expériences à raconter. 😉

D’où je viens

Je suis aujourd’hui une blogueuse débutante, passionnée par les sujets pour lesquels j’écris et cherchant toujours à améliorer mes compétences et mes connaissances, pour mieux vous servir 😉 Mais il y a encore un an je faisais un tout autre métier…

Commençons par le commencement. Je suis née dans une famille où les arts sont omniprésents. Ma mère est musicienne professionnelle et mon père a fait sa carrière en temps que musicien, compositeur et metteur en scène, écrivain, photographe et peintre. Mon frère quand à lui est guitariste de jazz. Quant à moi, c’est le cinéma qui a constitué mon principal intérêt depuis très jeune. Puis plus tard, l’audiovisuel et les arts numériques. En 2006, j’ai décidé de tenter ma chance et j’ai intégré un lycée spécialisé en audiovisuel.

9 ans de travail pour arriver à mon but

Après mon bac audiovisuel (Yeah !), j’ai voulu intégrer un BTS montage. Ces BTS sont en général très demandés et sur 400 demandes, seule une quarantaine d’élèves ont la chance de les intégrer, après avoir parfois été tiré au sort. Je n’ai pas eu cette chance pendant trois ans, que j’ai passé à la faculté de Bordeaux 3 (puisque je n’étais pas prise en BTS, je pouvais au moins apprendre d’autres disciplines que j’adore également !) Ce fut la philosophie et le japonais. Trois ans d’affilée, je n’ai pas eu la chance d’intégrer une école d’audiovisuel. Mais il était hors de question que j’abandonne. Je voulais faire des films, et rien d’autre !

comment atteindre ses objectifs, la traversée du désert

Trois ans d’affilée, j’ai fait mes propres projets et stages, et continué à tenter le coup. L’école que j’ai fini par réussir à intégrer était un IUT. Les deux formations que j’y ai suivies dispensent des cours de multimédia, web, communication et beaucoup d’autres sujets complémentaires, qui m’ont fait découvrir des voies auxquelles je n’avais jamais pensé, et ouvert de nombreuses portes. La dernière formation s’est terminée en 2015, il m’aura donc fallu 9 ans pour atteindre ce but.

Le début de l’aventure (et des épreuves…)

Forte de toutes mes années d’études et d’expériences sur le terrain grâce à mes nombreux stages et projets personnels (Re-yeah !), j’ai ensuite voulu démarrer une activité de réalisatrice indépendante (ben oui, avec mon Trouble du Déficit d’Attention et mon incapacité à faire comme tout le monde, vous voulez quand même pas que j’intègre une entreprise non ?!) Et dans le même temps, j’ai monté avec mon père une association de production audiovisuelle et artistique, que l’on a appelé en référence à une vieille blague familiale Les Films du Chacal.

Les Films du Chacal
Image de la mascotte des Films du Chacal

Le premier projet que l’on a voulu faire était un court-métrage collaboratif. Après des mois de recherches et de préparation, d’appels à divers professionnels et anciens collègues d’école, et de communication dans toute la région pour obtenir quelques aides financières et bénévoles, nous avons enfin pu commencer le tournage du film. C’était un très gros projet… surtout pour une association qui venait de débuter. Nous étions très heureux d’avoir pu regrouper tant de personnes, d’avoir réussi à organiser cette semaine de tournage. Mais je n’étais pas sûre qu’en temps que débutants, nous arriverions à gérer un si gros projet. C’est pour cela que j’ai fait appel à des professionnels, qui devaient être les soutiens techniques de l’équipe et de cette petite entreprise… C’était une grossière erreur de débutante, mais pas de débutante en audiovisuel, non, une erreur de management. Mais ça, je ne l’ai su que bien plus tard !

Ce fût une expérience extraordinaire. Vous imaginez, vous ? Faire un vrai film avec toute une équipe de tournage, les acteurs, les aides, le matériel, les caméras… ? Waouh, le rêve de beaucoup de monde quoi ! 🙂 Et là je pense que tous ceux qui connaissent un peu ce monde-là commencent déjà à rigoler…

(D'OH !)

Ben oui, un tournage c’est aussi une organisation de malade, un stress d’enfer, un emploi du temps de fou, une équipe à gérer… En fait, un projet de film, c’est comme la création d’une entreprise d’une trentaine d’employés et sa gestion pendant une semaine de tournage (pour les tous petits tournages) puis pendant les phases de post-productions qui peuvent durer des mois, et enfin sa fermeture à la fin du projet. Avec les mêmes contraintes juridiques, les mêmes problèmes de personnel, de matériel, de locaux, de coûts, enfin tout quoi ! Et maintenant vous commencez peut-être à imaginer l’ampleur de la tâche pour deux personnes qui débutent ? (Là vous avez pas besoin de connaître l’audiovisuel, si vous êtes entrepreneur vous avez saisi la catastrophe !)

Bref, nous étions très vaillants et passionnés, mais je pense que nous avions vu un peu gros. Ce n’était pas la première fois que je tournais un court-métrage avec mon père, mais un tel projet pour des débutants en audiovisuel et sans assez de moyens financiers, c’était beaucoup. Je pense que la plus grosse erreur aura été de mélanger un milieu associatif, avec des bénévoles qui avaient une réelle envie d’aider malgré leur manque de connaissances en audiovisuel, et des professionnels, à qui nous n’avons pas su faire comprendre le sens du projet : c’était un film associatif et participatif, pas une production TF1. 🙂

Quand l’aventure fini par mener à une profonde remise en question

Comme vous vous en doutez peut-être, le tournage a donc fini par tourner au vinaigre et malgré nos efforts de tous les instants, nous glissions jour après jour, inexorablement, vers le CHAOS !

(explosion, changer de vie)

(heu… non ! Je me suis trompée d’histoire ! 🙂 je recommence…)

Effectivement, nous avons eu énormément de mal à tout gérer dans les temps et à finir la semaine avec des images qui pourraient ensuite faire un film. Tout le monde a été super et a fait ce qu’il a pu, nous avons réussi à finir le tournage et l’aventure a finalement plu à pas mal de personnes, j’ai énormément de reconnaissance pour tous ceux qui ont participé (merci à vous tous !) Mais certains retours ont été extrêmement cassants, blessants, certaines incompréhensions et incivilités ont persisté pendant toute la durée du tournage et ont mis une ambiance pas toujours agréable… et ont même parfois entravé le bon déroulement du tournage. Je manquais de confiance en moi, d’expérience, et je n’ai ni vu venir les problèmes, ni réussi à les résoudre. C’est pour cette raison que malgré tout, cette expérience à été pour moi un échec.

Comme vous le savez peut-être, après le tournage vient le montage. Nous étions deux pour le faire, mon père et moi. Ayant tous les deux des vies à côté et surtout pour ma part besoin de me lancer dans mes propres activités (payantes), nous avons eu toutes les peines du monde à y travailler (pour tout vous dire, il n’est à ce jour pas encore finalisé). Il faut savoir que ce film doit être projeté dans la salle de cinéma de la petite ville dans laquelle nous avons tourné, lors d’une soirée associative. Monter un tel film demande certains moyens techniques, que nous n’avons pas pu avoir. Avec les moyens du bord, nous continuons donc régulièrement à travailler à la finalisation du projet. Seulement voilà, depuis ma sortie de l’IUT, je n’ai jamais réussi à me faire payer pour un projet et mon activité professionnelle n’a donc jamais pu démarrer. La petite déception d’un jour a donc commencé à se transformer, petit à petit, en grande frustration. Le manque d’expérience et de confiance en soi (un des symptômes les plus récurrents du Trouble du Déficit de l’Attention dont je souffre), en blocage et en remises en question permanentes.

devant un mur, se poser les bonnes questions

La révélation !

Je me suis acharnée jusqu’à l’année dernière (nous étions en 2017). Mais je vivais dans le même temps quelques difficultés personnelles, ma motivation et ma confiance en moi avaient été réduites à néant et ma santé empirait de mois en mois. J’ai fini par me rendre compte que je ne voulais plus essayer. Surtout, je ne voulais plus travailler pour des gens qui ne considéraient pas mon travail à sa juste valeur, dans des projets qui ne me plaisaient pas, et en étant payée au lance-pierre. J’ai commencé à faire des recherches sur les différents métiers du web qui auraient pu me plaire. Et c’est là que j’ai découvert un monde nouveau. Le monde de l’infoprenariat, et le monde du blogging.

Changer de vie : découverte d'un nouveau monde

WAOUH ! Ça m’a fait l’effet de découvrir un monde souterrain et caché, comme dans Voyage au centre de la terre de Jules Verne… Quelles possibilités extraordinaires! Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ! Je pouvais faire littéralement ce que je voulais, comme je voulais, quand je voulais, sur des sujets qui me passionnaient, en étant formée et coachée par des professionnels qui avaient fait leurs preuves et qui étaient pour moi des mentors et des modèles à atteindre. Et surtout, je pouvais être payé pour ça ! Sans avoir à quémander, en décidant de mes prix, de mes règles, tout en apportant au monde ce que j’avais toujours voulu apporter, une plus-value et une aide pour des gens que j’estime énormément, qui ont un réel besoin d’aide et qui ne la trouvent pas forcément, ou très peu en France. Je voulais aider comme j’avais moi-même été aidée. Je vous parle bien sûr du TDAH, le Trouble du Déficit d’Attention avec ou sans Hyperactivité (que c’est long et compliqué ce sigle ! Tout ça pour dire que j’arrive pas à me concentrer sur les bonnes choses et que mon énergie joue aux montagnes russes !) J’ai été énormément aidée par les gens et les professionnels que j’ai rencontré, mais aussi par ma soif d’apprendre et de toujours aller plus loin et m’en sortir. Le blog Le TDAH au quotidien est là pour aider à son tour les gens qui en ont besoin, j’espère réussir ce challenge cette fois. 😉

Je sais qu’il faudra du temps et beaucoup de travail pour réussir dans ce domaine, mais qu’importe, je veux le faire, je sais que c’est possible, et je suis motivée comme jamais ! Cette révélation fut le début de mon aventure avec le blogging. J’ai aujourd’hui énormément de projets de formations, pour moi en coaching, et pour mon blog sur plusieurs problématiques du TDAH (que je vous révélerai bientôt  😉 ). Je compte aussi créer un autre blog sur une autre de mes passions.

Ce qui est étonnant, c’est que dans les jours qui ont suivi cette décision d’abandonner mon passé pour regarder vers ce à quoi j’aspirais réellement au fond de moi, ma santé a commencé à s’améliorer. Mon énergie est revenue et j’ai commencé à entrevoir une nouvelle Anne. Je suis intéressée par la santé naturelle depuis plusieurs années et ce que j’ai fait cet hiver là (et ce que je fais depuis) a assurément contribué à l’amélioration de ma santé générale (aujourd’hui, je suis beaucoup plus rarement malade !). Mais quand même, vous ne trouvez pas ça magnifique que le psychique ait autant d’influence sur le corps ? (Bon mais ça, c’est une autre histoire…) 😉

Pourquoi je vous raconte toute cette histoire ?

Pour vous montrer que quelles que soient vos épreuves et la manière dont vous les vivez, il y a toujours quelque chose de bon à en tirer. Je n’ai pas perdu de membre de ma famille dans cette histoire, ni de bras ou de jambes, mais je me suis à un moment retrouvée par terre, face à un mur. Et ce mur c’est bien moi et moi seule qui l’ai bâti. On n’est pas obligé de le voir tout de suite et la persévérance est une chose primordiale pour s’en sortir dans les épreuves. On n’est pas non plus obligé de changer de vie, mais quand on reste trop longtemps dans le déni d’une situation qui ne nous convient pas, notre corps et notre inconscient mettront toujours tout en œuvre pour nous arrêter. Il y a un moment où il faut sortir la tête du guidon (ou de l’eau), s’arrêter, et se poser les bonnes questions. Qu’est-ce qui me fait réellement vibrer ? À quoi ai-je envie de vouer ma vie maintenant ? Le dernier jour de ma vie, qu’est-ce que je veux voir en me retournant sur mon passé ? Bref, qui suis-je et qu’est-ce que je veux devenir en fait ?! Quand vous sentez que rien ne va plus, que vous perdez pied, posez-vous. Respirez un grand coup, regardez le ciel, et posez-vous ces questions.


Cet article est ma participation à l’événement inter-blogueurs “Cet échec ou épreuve qui s’est révélé être une opportunité” organisé par le blog Le Colibri Imparfait. Si vous avez aimé mon article, votez pour lui en cliquant sur le lien J’ai aimé cet article !

Anne Juguet TDAH

Prenez soin de vous, et à très bientôt !
Anne Juguet, Le TDAH au quotidien

Article corrigé par Henri-Pierre Juguet : hpj.correction.redaction@gmail.com

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8 commentaires sur “Changer de vie : Pourquoi j’ai abandonné mon ancien rêve”

  1. Merci Anne,
    Un beau témoignage. C’est tellement plaisant de lire que tout est possible et qu’un rêve peut finalement conduire à un autre qui apporte enfin l’épanouissement tant désiré.

    1. Merci Caroline 🙂
      Oui j’espère que ça rassurera tous ceux qui manquent de confiance en eux et en leur avenir aujourd’hui. Tout est possible tant qu’on n’abandonne pas !

  2. Félicitations.
    Non seulement pour avoir eu le courage de changer de vie aussi pour celui de te livrer de cette manière.

  3. Merci pour ton blog et l’énergie que tu y mets, c’est vraiment important pour mieux faire connaître le tdah en France. Chapeau. sera de moins en moins
    Dans ton témoignage, tu parles de la gestion d’une entreprise, c’est un truc de dingue avec toujours 1000 trucs à faire penser pas oublier, des imprévus, dans toutes les directions…. Et ouais… je connais j’ai ma propre entreprise. Je peux mobiliser de grosses ressources en moi pour abattre du gros taf, mais dès que ça consommes trop d’attention, du genre secrétariat ou gestion humaine, je commences à dérailler, c’est super fatiguant, super dur, et idem, j’ai longtemps douté de moi à cause de ça, pensant, en gros, que j’étais soit une merde soit un feignant mal organisé. Désolé pour le gros mot mais c’est plus « authentique » comme ça.
    Là j’ai 41 ans, diag TDAH depuis même pas un an. Du coup, petit à petit, tout devient plus clair, je m’accepte et je me comprends.
    Je suis médicamenté car je n’y arrive pas du tout sans. Enfin pour le moment.
    Mais médicamenté ne veut pas dire qu’il ne faut pas essayer d’adapter son contexte à ses particularités qui sont toujours là « sous » le médicament.
    Donc, c’est un projet qui mûrit doucement mais surement: je suis en train de me réorienter vers ce que j’aime le plus.
    Et comme toi, ça me redonne une patate de dingue. Vraiment: Yeah !

    J’ai lu ton dernier billet où tu parlais de ton absence du blog à cause de ton événement de vie: encouragements, merci à toi, et encore chapeau de revenir et continuer !
    Force et courage!

    1. J’ai fait une faute en laissant un bout de phrase de brouillon en trop (« sera de moins en moins »)
      Ben voilà, faut d’attention :-)))))))

    2. Merci Bruno pour ton soutien et ton retour, et bravo à toi pour tout le chemin que tu as parcouru. 🙂
      Effectivement, il ne faut pas avoir peur de la médication mais ce n’est qu’un pan de la montagne. Apprendre à se connaître, à s’apprécier et à faire de ses caractéristiques une opportunité d’avoir une vie épanouissante est très important. Pour cela il y a les TCC, les thérapies de groupe, les exercices qui peuvent aider à son développement personnel et pour chaque sphère de sa vie, et tout un tas d’autres outils.
      Bon courage pour ton nouveau projet, force et courage à toi aussi et j’espère à bientôt ! 🙂

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Bonjour,

Je suis Anne Juguet, coach de vie et diagnostiquée TDA/H ! Passionnée de psychologie, de neurologie, de développement personnel et de techniques d’apprentissage et de coaching, j’étudie ces différents domaines au travers du prisme du TDA/H et de ses troubles associés.

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